L'OM, qui se prétend souvent meilleur club de France grâce à son passé glorieux ( 8 championnats, 10 coupes de France mais plus rien depuis la C1 en 1993 ) voit la crédibilité de ses victoires largement entamée par les déclarations de certains anciens joueurs qui disent avoir été dopés. Ainsi, Tony Cascarino, avant-centre de l'OM entre 1994 et 1997, confirme les dires de Jean-Jacques Eydelie
( joueur en 1992-93).
« J'admets que j'ai reçu des piqûres, mais je connais beaucoup d'autres joueurs qui ont fait la même chose, déclare-t-il notamment. Les piqûres étaient toujours faites avant le match, au bas du dos. Je n'étais pas sûr de ce que c'était mais comme tout le monde me disait que c'était bien et qu'en plus je me sentais vâchement en forme après, j'ai accepté ce qu'il m'arrivait. »